Animorphs France
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Animorphs France

Forum francophone sur la série Animorphs. Pour les fans des livres écrits par K.A Applegate
 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
-29%
Le deal à ne pas rater :
PC portable Gamer ERAZER DEPUTY P60 – 15,6” FHD 144Hz – i7-12è ...
999.99 € 1399.99 €
Voir le deal

 

 Extrait francais des Livres Anglais!

Aller en bas 
3 participants
AuteurMessage
LoloJedusor
Administrateur
LoloJedusor


Nombre de messages : 285
Perso préféré : Rachel
Date d'inscription : 02/11/2005

Extrait francais des Livres Anglais! Empty
MessageSujet: Extrait francais des Livres Anglais!   Extrait francais des Livres Anglais! EmptyJeu 15 Juin 2006, 01:20

Chroniques Des Ellimistes
(Traduction trouver sur le web!)


Chapitre 1

Mon nom complet est Niveau Azure, Spar Sept, Extension Deux, Messager d'en bas, Quarante et un. Mon nom d'élu est Toomin. J'aime le son du mot, qui est toute la raison vous requérez pour un nom élu.

Mon nom pour le "jeux" est l'Ellimist. Que j'aime Toomin ne veux pas dire que je n'aime pas en changer Il m'a semblé que ce serait drole de changer de nom. Mais je n'aurais jamais cru qu'il me suivrait si loin, et si longtemps.

Les Pangabans étaient une race interressamment adapté a leur environement. Ils vivaient au-dessous d'un grissonement eternel, obscurcissant leur ciel. Ils n'avaient jamais vu leur propre soleil clairement, n'avait aucune notion d'étoiles ou d'autres planètes. C'était particulièrement ironique parce que leur planète propre était en fait une lune qui orbitait autour d'une planète beaucoup plus grande et bien plus apte a la vie...

Si ils avaient été bénis avec une cassure occasionnelle dans les nuages ils aurait pu évoluer très differemment. Il est dur d'imaginer que toute une espèce vivant au-dessous d'un ciel toujours gris, avec toute son évidente pauvreté, et dont l'idée d'aller dans l'espace n'a jamis éffleuré l'esprit.

Mais les Pangabans ne connaissait rien de cela, rien du tout de rien au-delà leur propre monde humide et lugubre.

Les Pangabans avaient six pattes, ce qui est une configuration assez communne . Ils portaient leurs têtes hautes au-dessus le corps musclé, svelte qui était plus petit que l'embranchement d'une des six longues jambes .

Leurs pieds étaient grands, palmipèdes, et concaves pour leurs permettrent de marcher sur l'eau qui couvrait la majorité de la planète a part quelques îles volcaniques par-ci par la. Ils s'alimentaient en abaissant un genre de filet de leurs corps dans l'eau et en capturant des animaux et plantes microscopiques qu'il y avait en abondance.

Ils étaient intelligents.Pas surdoués, mais ils avaient la consience de soi . Ils savient qu'ils étaient. Savait qu'il éxistaient. Avaient une langue. Une culture, impliquant surtout de superbes danses sur l'eau, alimentant des rituels, et une religion qui centrait sur la croyance dans des esprits sous-marins qui leurs donnaient la nourriture ou les en privaientt.

L'analyse ADN indiqua un potentiel pour le développement. Le monde Pangaban recevait une dose décente de radiation, rien de mortel, juste assez pour ne pas causer un taux notable de mutation. Et malgré leur physique maladroit et les limitations de leurs ressources naturelles , je croyais qu'ils pourraient être amenés à un niveau de technologie égale a la dite"Confédération Illaman ".

Mais il y avait un problème possible: la planète principale autour laquelle la lune Pangaban tournait, était peuplée par une espèces agressives a quatre jambes et 2 mains qui s'appelaient Les Gunja Wave. Les Gunja wave étaient des créatures primitives, seulement obscurément conscient de soi. Mais leur Adn promettait, peut-être trop. Et leur agressivité pourrait leur donner un avantage si les deux races se heurtaient un jour.

Je me suis adréssé a mon ami Niveau Azure ,Spar Neuf , Mât Trois, Messager Droit Douze.Son nom d'élu est Redfar. Son nom pour le jeu est Inidar.

"Je prendrai les Pangabans, si tu veux bien."

"Volontiers,aprrouva-t-il en se retournant. "Tu sous-estime la valeur d'agression pure. Tu est un idéaliste, Ellimiste."

Inidar riait. Le rire m'inquiétait un peu. Il semblait très sûr. Mais je n'allais pas lui montrer mes doutes propres. "Est-ce que nous nous immergerons?" C'était le défi rituel du jeu.

"De l'autre côté," consenti Inidar , acceptant le défi.

Je vérifiais ma position mondiale réelle, vérifiais pour voir s'il y avait aucun message pour traiter avec moi. Je ne voulais pas être pas interrompu. Alors j'ouvris le shunt et nous étions tous tout de suite à l'intérieur le jeu.


Je flottais au-dessus du monde Pangaban . Dérivant au-dessus d'une interminable soupe grise-verte d'algues et évitant des anguilles qui pourraient atteindre des longueurs de trois miles. Je dégringolait au-dessus d'une des îles mousseuses, passais en dessous des arbres et trouvais une colonie de Pangabans.

Le @@Pangabans étaient toujours aussi primitif, mais il jouait déja a quelque chose. Un jeu qui impliquait de fair des rond jamais plus serrés que ceux de la personne centrale. pas un jeu complexe, certainement ne dans la comparaison avec le jeu je jouais pas.

Mais C'était encouragant , une aptitude à concevoir et exécuter un jeu était un bon signe pour toute espèce. Il était un jeu lent et presque inutile, mais qui pourrait évoluer. Les jeux avaient évolué sur autres planètes, parmi d'autres peuples. Mon propre peuple, le Ketran, étant peut-être l'exemple prééminent.

Je demandais ce que Inidar ferait avec les Gunja Wave. L'essence du jeu était minimalisme: faire la moindre chose requise accomplir un but.

Je connaissais chose la moindre. Je savais ce que je ferais. Une unique chose : Je séparerais les nuages et ferais en sorte que les cieux soit 10% clair sur tout jour donné. Si j'avais compris pleinement, si mes instincts étaient corrects, ce seul changemment dans les paramètres lancerait une révolution parmi le Pangabans.

J'aime sentir la texture du jeu. J'aime être dans le jeu. Seulement dans le jeu, seulement avec le vent étranger dans vos ailes et le sol au-dessous vos serres (ou eau, dans ce cas), peut vous connaissez pleinement l'endroit. Et l'endroit est entierrement aux espèces.

Je regardais en haut à la couverture intacte de nuages gris. Je ne pourrais pas permettre trop de lumière ou l'écosystème entier effondrerait. Juste un aperçu.

Je senti un frisson d'anticipation. Les Pangabans étaient sur le bord d'une expérience ils ne pourraient pas même deviner à . Leurs yeux seraient ouverts pour la première fois. Leur univers s'accroîtrait par un facteur d'un pourcent de milliard.

J'ai souris. Et j'ai donné mes instructions au jeu: séparer les nuages.

Et les nuages se séparèrent.

Il faisait nuit. Les nuages se séparairent, lents, silencieux .Et au-dessus les Pangaban les étoiles apparaissaient. Lentement, un par un, craintif, les Pangabans firent ce que aucun de leurs espèces n'avait jamais fait avant: ils regardaient en haut.

Ils regardaient en haut et gémissaient leur cri de gargouille.

J'entendais Inidar dans mon esprit. "On accelère?"

" Retour en haut," ordonnai-je au jeu pour toute réponse"

Un ouragan! Un ouragan de vent ,d'eau de terre et de temps pure. Une folie tournoyante de changement. C'était le moment ultime dans le jeu. Nous avions fait nos changements et surveillé ,maintenant nous allions voir plus loin.

J'ai étalé tout ce qui pourrait arriver:mutation d'ADN , Changelent du climat,évolution de technologie,augmentation ou diminution de la population.

Pour les deux cent mille premieres années il y eut pas mal de changement. Je vis commençer des mutation d'ADN dans la forme du corps et dans la vue. Les Pangabans mutaient pour une vision plus loin, pour la vision des couleurs.

Et ,rapidement. Le nombre d'algue chutat comme une pierre. La lumière du soleil augmentée signifie presque forcément un accroissement de flore. Mais il était vrai, les mers mouraient.

Et alors, comme je restais intact parmi l'ouragan de changement, la premiere des anguilles carnivores naquit et attaqua les Pangabans. Les populations Pangabans fut décimée en un éclair .

Mais l'évoltion de L'ADN vint au secours des Pangabans. Ils sélectionnaient pour la taille, la résitance. Les plus petits étaient plus rapide, capables d'éviter les anguilles . Plus petit et plus petit jusqu'à ce que les plus grand d'entre eux soit a peine plus grands que nous autre Ketrans.

La menace des anguilles diminuait. Et maintenant de nouveau changement arrivait la première fluctuation dans l'index de technologie. Les Pangabans avait appris faire un outil. Une arme, bien sûr. Une lance simple qui pourrait être employée tourner les anguilles sur les tables. Bref les Pangabans chassaient et mangeaient les anguilles. Les primitifs pecheurs était devenu de vrais prédateurs.

Une million années passa et une espèces très différentes croisaient maintenant sur les mers de la planète ,armées avec des lances et arcs. Ils formaient des hiérarchies dominés par des guerriers. Leur culture transférait le sol, favorisant un dieu du ciel qui amenait le cadeau d'armes.

Oui, oui, il travaillait bien assez. Dans un autre million d'années. Peut-être deux, et ils apprendraient déplacer au-delà deleur planète, à . . .

Et alors, dans un éclair si soudain s'il était à peine un blip de temps , Les Pangabans avait disparu. Eteint.

Je me maudis et entendais Inidar rire.

Je ralenti la vitesse du playback . Il y avait eut des Gunja Vague, encore primitif, mais marchant maintenant droit, arrivant sur le monde Pangaban dans des vaisseau extremement primitif , tuait et mangeait les Pangabans. Ils les chasserentjusqu'à extinction de la race et repartir de la planète ,ayant tué ses seules espèces intelligentes.

"On appelle le jeu?" offri ,Inidar .

Je soupirais. "C'était quoi ton changement?"

"Oh, un très petit un,Inidar dit. J'ai augmenter leur taux de reproduction un tou petit peu. Cela augmenta leur agressivité naturelle. Et je devine que ton intervention devait ouvrir les cieux Pangabans . Les pressions de croissance de population,Des vivres limitées, et un capacitée a voir les pagabans . . . Mes Gunja Waves ont vouluent manger tes Pagabans."

"Oui,et ils l'ont fait," dis-je. " J'appelle le jeu."

"Tu dois apprendre a evitez la naiveté, Ellimist. Il n'est pas le bon et digne de les faire prospérer. Il doivent juste etre motivé."

"Oui, tu vas en surface oui ou non?," marmanai-je.On se retrouve aux perches pour vol libre?"

"J'y vais, Ellimiste."

Je fermais en bas le jeu et ouvris mes yeux au monde réel autour de moi.
Revenir en haut Aller en bas
http://yaoidreams.site.voila.fr/
LoloJedusor
Administrateur
LoloJedusor


Nombre de messages : 285
Perso préféré : Rachel
Date d'inscription : 02/11/2005

Extrait francais des Livres Anglais! Empty
MessageSujet: Re: Extrait francais des Livres Anglais!   Extrait francais des Livres Anglais! EmptyJeu 15 Juin 2006, 01:23

Mégamorphs 4: Retour en arrière ( Back to before )


TOBIAS



Nous étions quatre à avoir été désigné pour devenir membres à part entière. Il y avait un officier de police nommé Edward. Il y avait une journaliste nommé Kiko. Il y avait un type qui contrôlait les bandes son locales. Son nom était Barry.

Et puis, il y avait moi.

Pourquoi moi? La question était impossible à éviter. Comment est-ce que je me suis intégré dans ce groupe? Est-ce que c'était vrai que le partage ne s'occupait pas de savoir si vous étiez jeune ou vieux, mâle, femelle, noir, blanc, asiatique, chrétien, juif, musulmans, bouddhiste, athée, droit, gai, riches ou pauvres?

Ce que je veux dire, c'est que c'est ce qu'ils ont dit. Mais un bon nombre de gens disent quelque chose qu'il ne respecte pas après. La plupart du temps les gens recherchent des solutions pour traiter les autres comme des moins que rien.

Ils nous ont mis dans une petite salle, faiblement éclairée. Comme la pièce d'attente d'un dentiste seulement avec l'éclairage plus sympa et aucuns magasins aux alentours. Il y avait la porte d'où nous sommes entrés. Et une porte qui ne s'était pas encore ouverte.

J'ai regardé les autres. Edward et Kiko ne m'ont prêté aucune attention. Barry à incliné la tête. Ils devaient se demander ce qu'un gosse faisait là. Les adultes ont un préjudice automatique contre des gosses. Ils ne prennent jamais les gosses au sérieux, même lorsqu'ils en on l'air. Au moins c'est mon expérience. J'ai dit, "salut," à Barry.

"bonjour, mon gars. Ce quoi ton nom?"

"Tobias."

"C'est pas mal comme nom. Tu aimes la musique?"

"Bien sûr."

"Tu à déjà entendu parler des deux points de Cee de format?"

J'ai secoué ma tête. Il a semblé déçu. "ouais, tu est bien le seul . Notre prochaine grande chose. Tu aurais pu l'entendre ici, d'abord. Ils ont besoin juste d'une rupture. Nous avons une vidéo, mais nous ne pouvons obtenir aucun jeu sur MTV."

J'ai incliné la tête comme si je m'inquiétais. "Et vous avez besoin d'aide?"

"Absolument. Ils disent qu'ils peuvent aider."

"qui?"

"Le Partage. Qui d'autre?". "ah."

La porte s'est ouverte. La porte qui ne s'était pas ouverte avant. M. Chapman. Notre principal à l'école. Jusqu'ici mes réunions avec M. Chapman avaient été dans son bureau. Il m'avait demandé un jour de lui dire qui m'avait poussé dans les vestiaires des fille. Et j'avais refusé de le dire. "Kiko?" a dit Chapman.

Elle s'est levée. Défroissé sa jupe. Chapman m'a fait un clin d'œil amical et a emmené Kiko derrière la porte.

Barry est resté silencieux. Il était nerveux.

Le policier n'était pas dans son uniforme, mais je savais qu'il était flic. Mon oncle avait été arrêté à une période dans sa vie et reconnaître les flic c'est quelque chose qui l'avait vraiment passionné. Il les signale toujours. Ainsi je connais un policier quand je vois un.

Fondamentalement, je me suis demandé si mon oncle les détestait, ils avais probablement tous raison. Ca m'a mis à l'aise de le voir là. Je veux dire, s'il ce joignait au club c'est que ça devait être bien. Non?

La porte s'est encore ouverte.

C'était bill. "hé, commutateur au decaf, mon gars," a-t-il plaisanté.

"désolé."

" allons."

Je me suis levé. Barry m'a donné un signe d'assentiment et d'encouragement. Le flic a juste regardé le blanc de ma place avant lui.

J'ai marché vers la porte.

Bill m'a emmené en bas d'un vestibule. Soudain, au milieu du vestibule il s'est arrêté et m'a lancé un regard mystérieux. Il a appuyé sa main contre un petit panneau rectangulaire réglé comme celui d'un coffre.

Soudain une porte est apparue. Elle s'est ouverte sur l'obscurité.

Nous avons fait un pas à l'intérieur. Pas vraiment rapide. Il y avait une lumière rouge et un escaliers en métal menait vers le bas.

J'ai hésité. Bill a ri. "ne t'inquiète pas, ça fait juste un peu mélodrame."

J'ai commencé à descendre. Pas loin. Trois marches. En bas de l'escalier, il y avait une porte différente, et un vestibule différent. Puis une autre porte.

Ouverte. À l'intérieur, une table. Six chaises. Chapman s'est assis en bout de table. Près de lui, impérieux, impatient, presque menaçant, il y avait l'homme qui avait parlé lors de la réunion un peu plus tôt. M. Vysserk.

Kiko s'est assise à droite de Chapman. Elle m'a souri. D'un sourire étrange. Le côté de son visage se contracta soudainement, alors qu'elle souriait encore !

Dans un coin il y avait plusieurs baquets en métal. Comme les tourbillons qu'utilisent l'équipe de football. Acier inoxydable, assez grand pour une personne. Il y avait un harnais sur le bord du baquet, et une chaise en acier.

"Tobias," a dit Chapman. "oui, monsieur?"

"Bill nous indique que vous êtes prêt à devenir un membre à part entière du partage."

J'ai incliné la tête.

"pourquoi souhaitez vous nous rejoindre?"

J'ai gesticulé. "parce que. . . je. . . vous savez, ce dont vous parlez tout le temps. Ce que M. Vysserk disait. Faire partie de quelque chose de plus grand que soi-même. Un élément de quelque chose de grand."

Chapman a jeté un coup d'œil àM. Vysserk. Nerveusement, ai-je pensé.

M. Vysserk a pris un souffle profond. "Est-ce que tout ça est nécessaire?"

Chapman à dit, "la réceptivité est utile, Vysserk. Il y a moins de chance de. . . de rencontrer des problèmes plus tard."

"Ok, ok, mais obtenez quelque chose de lui."

Chapman s'est forcé de nouveau à faire un sourire plaisant. "êtes-vous prêt, Tobias? Est-ce que c'est ce que vous voulez vraiment?"

Qu'est-ce que je voulais? J'ai voulu voler pour déployer mes ailes, attraper la brise, sentir mes serres partir des branchements, monter sur un courant ascendant m'élevé jusqu'aux nuages.

Quoi?

Bill m'a poussé du coude. "oui," ai-je dis.

"et vous vous rendrez au partage?"

"oui." L'image avait été si forte. Si vrai. Voler si haut, voir par des yeux qui étaient comme des télescopes.

Chapman à incliné la tête vers Bill. Il m'a prit par les épaules, derrière moi et m'a guidé vers la chose tourbillonnante.

"Assis-vous là," a-t-il dit.

Je me suis assis. La chaise était froide. La surface du liquide dans le baquet était immobile. Foncé. Lourde à regarder, comme si ce n'était pas de l'eau.

Aucune importance, me suis-je dis.

"place ta main droite ici," m'a demandé Bill.

J'ai placé ma main dans ce qui ressemblait à un dispositif d'accrochage. Dans des menottes. Mon cœur battait maintenant. Je me plaçais totalement dans leur puissance. Qu'est-ce que je faisais? Qu'est-ce que je faisais?

Bill m'a attaché les menottes.

"maintenant ta main gauche."

Non, non, c'était un truc de fou. Non, ce n'était pas possible. Non. Non. Des menottes? J'ai regardé M. Chapman. Il était le directeur, il ne ferait pas partie de n'importe quoi de mauvais, n'est-ce pas?

Mais M. Vysserk était étrange. C'était son visage qui m'avait troublé.

J'ai placé ma main gauche. Bill à attaché la menotte.

"Met maintenant ta tête vers le bas, latéral, dans le harnais," m'a expliqué Bill.

"Qu'est-ce que c'est?" ai-je demandé. "que faites-vous? Je veux dire, qu'est-ce qui va se produire?"

"ton monde entier va changer, Tobias," m'a dit Bill avec douceur. "tu verras et tu comprendra tout."

"je ne pense pas. Je ne pouvais plus respirer. Une voix dans ma tête criait, 'part! Part!' Mon esprit tournoyait. "je pense que j'ai changé d'avis."

Bill s'est arrêté de sourire. "tu veux laisser le partage? Tu veux tous nous laisser? Tous tes amis? Après tout ce que nous avons fait pour toi? Ok, Tobias. Mais que fera tu après? Où ira tu? Quel est ton futur?"

Mon cœur martelait. "je ne sais pas," ai-je dis désespérément. " juste. . . je. .

"il n'y a aucun 'je ', Tobias. Qui est-tu? Un isolé, un gosse. L'amour que tu reçois vient de toi. Les soins aussi. Il n'y a personne à part toi. Met ta tête dans le harnais."

J'ai secoué la tête, d'une manière extravagante, fermement. "non. Je ne veux pas."

Bill a souri. Il a ri. "bien, tu sais quoi? Il est trop tard."

Il a saisi ma tête dans des ses deux mains et l'a poussée vers le bas.

"non! M. Chapman! Non!"

Chapman s'est levé et est venu. Il a aidé à me forcer vers le bas. Je criais, pleurais, hurlais maintenant. Délaissé.

"laissez-moi partir! Laissez-moi partir! Laissez-moi partir!"

Le harnais était fermé au-dessus de mon cou, autour de ma tête. Je ne pouvais pas le déplacer. Je pouvais à peine déplacer ma bouche pour demander pitié.

Bill et Chapman se sont reculés. Il y avait une fin de vrombissement de moteur quelque part. Ils ont appuyé ma tête vers la surface du liquide.

"non! Non! Non!"

"vous voyez, à la fin que nous devons utiliser la force," a dit M. Vysserk.

"C'est vrai, Vysserk, mais nous avons ce problème seulement dans vingt et un pour cent des cas de membres disposés. Et il y a soixante-six pour cent de réussite où peu d'incidents de commande contestée avec les centres serveurs volontaires."

"je sais les statistiques," a cassé M. Vysserk. "Dépêchez-vous. J'ai trente minutes encore avant de devoir demorphoser."

J'ai entendu ces paroles comme si elles venaient venait de loin. J'ai écouté espérant entendre une certaine note de la pitié, un certain sens que peut-être c'était tout une plaisanterie terrible, , quelque chose.

Mon oreille a touché l'eau.

Un moment plus tard, quelque chose a touché mon oreille.
Revenir en haut Aller en bas
http://yaoidreams.site.voila.fr/
LoloJedusor
Administrateur
LoloJedusor


Nombre de messages : 285
Perso préféré : Rachel
Date d'inscription : 02/11/2005

Extrait francais des Livres Anglais! Empty
MessageSujet: Re: Extrait francais des Livres Anglais!   Extrait francais des Livres Anglais! EmptyJeu 15 Juin 2006, 01:25

Animorphs 46:

La déception





Chapitre 6



" c'est la résistance"

Je n'avais jamais entendu plus de fierté dans la voix de mon prince.Et je savais que je n'avais jamais été aussi fier de lui qu'a ce moment précis.

< oui, et qu'est-ce que vous voulez? Comment est il possible que vous communiquiez avec nous? >

C'était claire, l'officier Andalite à l'autre bout de notre connexion interplanétaire n'été pas du tout impressionné.

Rachel à reniflé bruyamment. Jake lui a jeté un regard noir avant de parler.

"écoutez, " a-t-il dit, " nous n'avons pas beaucoup de temps. Cette transmission a pu être dépistée. Et nous avons beaucoup de choses à vous dire. D'abord, la situation du monde d'Anati est un piège. Les Yirks ont construit des énormes canon Dracon là-bas sur toutes les lunes. Si votre flotte y va elle sera détruite."

Il y eu un moment de silence Un retard compréhensible, étant donné l'énorme excédent de distance de notre transmission et notre dispositif primitif.

Mais j'ai suspecté autre chose signifié par silence.

< nous connaissons la situation sur terre, humain. > La voix appartenait à un autre Andalite. Sa tonalité me dit que c'était un supérieur de l'officier avec lequel Jake venait juste de parler.

" oui, " a commencé Jake, " mais les choses ont changé. Nous …".

< nous savons que vous avez besoin de notre aide. >

" mal élevé, " a marmonné Marco. " on ne coupe pas la parole à quelqu'un "

La voix a continué, froide et impérieuse. La voix d'un Andalite. < et nous devons considérer la possibilité que vous mentiriez à nous dans l'effort de devenir notre première priorité. >

" ce qui...

Cassie saisit Rachel par le bras, lui faisant signe pour qu'elle se taise.

< Ecoutez, " a indiqué Jake, en contrôlant la colère qui faisait vibrer sa voix. " nous détenons l'information par quelqu'un en qui nous avons confiance. Et vous n'avez aucune raison de suspecter que nous vous bernons."

" oui."dit encore Marco. " nous sommes punis, nous nous prosternons à vos sabots Andalites grands et honorables."

< prince Jake, je peux? >

Jake a incliné la tête et j'ai fait un pas en avant, plus près du Dispositif de transmission.

Depuis que j'était sur cette lointaine planète, j'avait parlé à des gens de mon espèce à plusieurs occasions. Une fois, par l'intermédiaire de réglages que j'avais fais à un télescope humain primitif. Réglages qui m'ont permis de pénétrer par effraction dans l'espace Zéro.

Une fois que, sur un vaisseau d'Andalite commandé par le traître, Samilin-Corrath-Gahar.

À deux autres occasions, j'avais parlé avec des Andalites qui étaient également venus sur terre.

Mais là -- c'était différent Tout était différent. La guerre augmentait. C'étaient la fin. Les Andalites, mon peuple, aurait dû nous écouter. Ils auraient dû être formés pour écouter.

< C'est Aximili-Esgarrouth-Isthill, > ai-je dit.

Déterminé à ne pas être interrompu. Certain que je serais cru.

< ce que mon prince dit est correct. Notre source pour l'information concernant la planète d'Anati vient de Visserk Un, chef de l'invasion des Yirk sur cette planète. Visserk Un a été envoyé pour établir les défenses d'Anati et pour décimer la flotte Andalite. Récemment le Visserk est retourné sur terre. Nous avons éliminé le Yirk et avons libéré l'hôte. C'est la vérité. >

Ce qui est venu ensuite je ne l'avais pas prévu. Plus tard, je me suis demandé pourquoi, avec mes expériences diverses de caractère Andalite, je n'avais pas eu la possibilité de voir le soupçon et la négligence de mon propre peuple.

< Nos supérieurs considéreront votre demande, > répondit l'officier. <le frère du prince Elfangor mérite toujours d'être entendu. Cependant à notre avis, étant donné ce qu'il à fait en donnant le pouvoir de morphoser à des humains, il est également possible qu'Aximili-Esgarrouth-Isthill ait confondu ses fidélités. >

< Je... >.

Mais il était trop tard pour protester

< Hé là-dedans! > cria Tobias. < sortez de là, maintenant! >

" tout le monde, morphose! Allez, allez ont y va!"

Notre transmission avait durée trop longtemps. Les Yirks arrivaient maintenant pour nous capturer. Ou pour nous tuer.

J'aurais dû prêter une attention plus particulière au temps.

TSSEEEWWW!

" Ax!" a crié Jake. " Il y a un passage! Prends le transmetteur et transporte le jusqu'au bout!".

< Des voitures arrivent les gars! Il y a des humain-Contrôleurs avec des pistolet sur le chemin! > a crié Tobias. < Dépêchez-vous ! "

TSSEEEWWW! TSSEEEWWW!

Le sable autour de nous s'est entrouvert sous la chaleur et la pression terribles du feu des rayons Dracon.

Et dans l'herbe brute de la plage, sous le couvert de la faible lune, Rachel, Cassie, Marco, et Jake ont commencés à morphoser rapidement dans leurs animorphes standard d'oiseau de proie.

Pour les raisons habituelles de sécurité ils n'ont pas pu être identifiés par les Yirks en tant qu'humain. Dans le cas de Marco, il ne pourrait pas être identifié par les Yirks comme vivant.

< Partons. > Rachel à agité les ailes massives d'aigle à l'air frais de la nuit et a lutté contre l'attraction de la terre.

Cassie et Marco, chacun en balbuzard ont suivis.

< Ax, Tobias? > a hurlé Jake. < ne les laissez pas obtenir le transmetteur! >

Un faucon pèlerin s'est élevé dans la nuit.

TSSEEEWWW! TSSEEEWWW!

J'ai replié le transmetteur dans ma mallette, me suis accroupis aussi bas que je pouvais pour être toujours stable, et ai morphosé sous le couvert des dunes.

< Whoa! Ax-homme, attention! >

Au-dessus du sable humide deux policiers couraient en glissant, un lance rayon Dracon dans la main. Me visant.

" Saleté d'Andalite! Arrête!".

" Tsseeer!"

" Aaargh!"

L'humain-Contrôleur se mit la main devant ses yeux lacérés par un Faucon à queue rouge.

Et avant que l'autre ai pu réagir.

Fwap!

J'ai soulevé ma lame caudale au-dessus de mon épaule et j'ai frappé avec le plat de la lame. Il était certainement évanouie.

Complètement hors d'état de nuire.
Revenir en haut Aller en bas
http://yaoidreams.site.voila.fr/
LoloJedusor
Administrateur
LoloJedusor


Nombre de messages : 285
Perso préféré : Rachel
Date d'inscription : 02/11/2005

Extrait francais des Livres Anglais! Empty
MessageSujet: Re: Extrait francais des Livres Anglais!   Extrait francais des Livres Anglais! EmptyJeu 15 Juin 2006, 01:26

La résistance N°47





" Ils vont combattre avec ou sans nous, " dit Cassie, intimidée.

Comme si peut-être, elle avait soudainement changé d'avis au sujet de ce que notre rôle devait être. " Ils risquent tout pour leur liberté."

" Nous devons respecter cela, " dit Rachel. " et nous devons secourir les Hork-Bajirs."

Je ne pouvais pas encore croire ce qui venait juste de ce produire.

< C'est juste plus stupéfiant que d'ordinaire, > nous dit Tobias en privé. <Ces Hork-Bajirs savent qui elles sont et ce qu'elles veulent. >

" C'est vrai." Je leur dit. " Nous vous aiderons."

Marco m'a jeté un coup d'œil avec un mélange d'exaspération et de soumission. Il savait que c'était un argument que nous ne pouvions pas contrer.

Cassie m'a regardé, avec ce regard qui indiquait que je faisais la bonne chose.

Toby a souri avec le sourire étrange de Hork-Bajir.

" Tobias, comme toujours, tu es notre oeil dans le ciel, va hors de la zone et voit si tu peux repérer une sortie de secours. J'ai le sentiment que nous allons en avoir besoin. Marco, contacte Erek. Voyez si quelques Cheys peuvent couvrir nos arrières chez nous pour ceux qui en ont besoin."

Toby m'a regardé.

" Si nous devons nous échapper." Me suis-je corrigé en souriant.

J'ai commencé à dessiner une carte rugueuse de la zone sur le sol avec un bâton. Toby s'est approchée de l'endroit où j'étais accroupis.

" Merci, " a-t-elle dit.

" Ouais, bien... je voudrait juste être sûr que tes compagnons comprennent ce qu'ils entreprennent. Ca ne va pas être joli."

" Ils comprennent beaucoup plus que vous ne le pensez , Jake. Ils ont été invités pour se défendre avant. Ils ont été à travers beaucoup."

J'ai incliné la tête timidement et j'ai regardé en arrière la carte sur le sol.



Après un moment, j'ai été plus loin dans le camp pour vérifier les préparations de la bataille. Avec les conseils de Rachel et de Ax, les Hork-Bajirs plaçaient des plates-formes dans les arbres.

Un Hork-Bajir avec un paquet de petites branches sur son dos et un enroulement de corde dans sa main grimpa vers le haut d'un arbre, à l'aide de ses lames de talon et de poignet pour s'élever. Comme un dépanneur de téléphone vraiment rapide. Quand il obtint environ trente pieds vers le haut, il planta ses lames de cheville dedans, fermement, sécurisa sa position avec les deux lames de genoux, et se pencha en arrière. Avec les deux mains librement, il accrocha les branchements ensemble. En environ dix minutes, il y avait fabriqué une plate-forme pas très raffinée mais parfaitement camouflée.

Quand le constructeur eu terminé, il s'éleva sur la plate-forme pour tester sa solidité. Alors il descendit rapidement, se déplaça jusqu'à un autre arbre, et recommença.

Un plus jeune Hork-Bajir s'est alors élevé jusqu'aux plates-formes réalisées et les a stockées avec des lances et des flèches. Armes que le Hork-Bajir femelle s'avérait habile avec vitesse, efficacité, et compétence. Elles étaient incroyable pour ça.

Les Hork-Bajir adultes, le peu qui n'étaient pas aussi rapides à s'élever que les autres creusaient des puits et des fossés partout dans le camp. Quand il y en avait un de creusé, les enfants Hork-Bajir, les plus petits, s'abaissaient dedans pour placer des branches taillées en pieux dans la saleté. Celui qui viendrait à tomber dans ces trous ressemblerait a un fromage suisse. S' ils sortaient en entier. Après que les pieux soient en place, les gosses ont travaillés à la couverture des puits. D'abord avec des brindilles qui ont enjambé l'ouverture. Puis avec des branches et de l'herbe pour le cacher complètement.

Aussi satisfait que je pouvais l'être dans ces circonstances, j'ai appelé les autres et Toby . Près de la carte nous avons discutés stratégie.

" Nous sommes ici."

J'ai désigné un point, deux lignes parallèles marquant le passage étroit où nous étions.

" De chaque côté de nous sont les côtes et les falaises raides. Impossible de grimper sans y mettre du temps et beaucoup d'efforts. Ainsi je pense que les Yirks monteront la vallée de cette façon, " ais-je dit tout en déplaçant mon doigt. " Du sud, vers le sommet."

" Ce qui est bon pour nous, " a indiqué Marco .

< Ca ralentira leur approche, > à acquiescé Ax, < mais ça gênera également notre retraite. Tobias dit que notre seulement sortie de secours est vers le haut de la vallée au nord. > Là Ax à indiqué un endroit où la vallée s' élargissait, environ un mille au nord du camp. < Les falaises de la vallée deviennent plus faciles à escalader à cet endroit, mais se sera toujours lent et difficile. >

J'ai regardé Toby.

" Vous seriez bien mieux positionnés si vous escaladiez les falaises de la vallée maintenant et que vous combattiez d'en haut "

" Nous défendrons notre maison."



< Nous avons un autre problème, > dit Tobias. < j'ai repéré un groupe de campeurs. Et ils vont être sur le trajet des Yirks. >

" Je devine que nous devons essayer de les convaincre de sortir de là, " ai-je dit.

Cassie a mis sa main sur le bras de Toby. " Même si vous survivez, vous devrez vous cacher. Où iriez-vous?"

" Si nous sommes forcés de nous cacher temporairement, " a indiqué calmement Toby, " Nous irions dans les collines."

" Mais les arbres dans les collines ne sont pas de la même sorte que ceux de la vallée. Et ils ne fourniront pas un grand abri. Vous devrez vous adapter encore une fois.".

< Et ces collines sont assez près des banlieues, >a ajouté Tobias. < il ne serait pas sûr de se cacher là très longtemps. Sinon vous rencontreriez des humains. >

" Peut-être est-il temps que les Hork-Bajir se mêlent aux humains, " dit Rachel. " Nous ne pouvons pas compter sur l'Ellimiste pour qu'il apparaisse pour nous dépanner juste parce que nous le voulons et que nous en avons besoin. Mais si on venait à les découvrir beaucoup de choses arriveraient, bonnes et mauvaises …

Marco sourit de manière contrariée. " flash de nouvelles: Les gens des villes ne vont pas tolérer un étranger à lames, haut de sept pied comme voisin. Je veux dire, que voulez vous qu'ils fassent ? Laveur de voitures? Toby en PDG d'un club de football? Pensez à cela."

Les yeux de Toby se sont relâchés.

" Je suis désolé. Nous, nous ne vous voyons pas comme des monstres, mais un type normal? Toby, les humains ne peut déjà pas tolérer que d'autres humains soient pour telle ou telle équipe de football. Ils se tapent dessus juste pour des bêtises comme ça. ²

" oui, " a acquiescé lentement Toby. " j'ai appris que les humains ne supportent pas les gens qui sont différent d'eux."

" Ce qui n'est pas toujours vrai, " ai-je indiqué.

< Mon étude de l'histoire humaine suggère que Marco et Toby ont tout les deux raison, > dit Ax soigneusement < historiquement, les humains font parti de l'espèce la moins tolérante dans la galaxie, tout ce qui compte pour eux c'est la prédominance de la violence et de l'oppression."

" Ainsi, c'est ce que tu nous suggère, Ax?" a demandé Cassie. "envoyez les Hork-Bajirs sur une planète éloignée?" Tous ça parce que des humains n'ont aucune tolérance? Ce ne peut pas être la seule solution.".

" Si, " dit Marco. " regarde ce que les humains ont fait aux animaux. Si un animal a une chance de nous dominer, nous le capturons. Je préférerais plutôt être un tigre ou un éléphant sur Neptune qu'une couverture rayée ou un cadre d'ivoire sur terre. Plus vous serez loin de la Terre, Toby, mieux vous serez."

Pendant un moment, Toby n'a rien dit.

" Mais sommes nous vraiment si différent de vous?" a-t-elle dit finalement.

Elle s'est tournée vers le camp. Vers un Hork-Bajir qui était accroupis sur la terre et qui berçait son enfant pleurant dans ses bras.

L'enfant était tombé. La mère avait soigneusement porté l'enfant à son épaule et avait doucement tapoté son dos.

Non, les Hork-Bajirs n'étaient vraiment pas si différent de nous
Revenir en haut Aller en bas
http://yaoidreams.site.voila.fr/
LoloJedusor
Administrateur
LoloJedusor


Nombre de messages : 285
Perso préféré : Rachel
Date d'inscription : 02/11/2005

Extrait francais des Livres Anglais! Empty
MessageSujet: Re: Extrait francais des Livres Anglais!   Extrait francais des Livres Anglais! EmptyJeu 15 Juin 2006, 01:27

Extrait de l'Animorphs n°48





Le retour




Chapitre 10

< est-ce que je vais te laisser la chance de savoir ce que tu fais ici? > m'a demandé abruptement David. Il s'est élancé le long du mur extérieur du cube. Son nez frétillait. Ses yeux de rat brillaient d'une lueur malveillante.

Il était satisfait d'avoir réussi à faire ce qu'il voulait, j'étais à sa merci.

< est-ce que je vais te laisser la chance de comprendre ce qui s'est passé après que vous m'ayez abandonné sur cette île rocheuse? Ce qui s'est passé quand j'étais là bas tous ces mois, seul? À peine survivant? Essayant de ne pas devenir fou? >

Soudain, j'en étais certaine, ce n'était pas un rêve.

Soudain, j'ai ressenti la crainte - lourde et froide - qui s'insinuait dans mes membres.

C'était lui ou nous… nous tous… nous allions devenir des tueurs.

Je ne voulais pas écouter l'histoire de David. Je ne voulais pas entendre ce qu'il avait à dire.

Je pouvais assez bien l'imaginer. Je l'avais imaginée. À plusieurs reprises. Même lorsque je ne l'avais pas voulu.

Et quand j'ai imaginé la situation de David, quand les images sinistres de l'isolement ont envahi mon cerveau, j'ai invariablement éclaté dans une colère froide.

David s'est reposé sur ses jambes de derrière en regardant vers le haut, son petit nez rose reniflant vers le ciel. Recherchait-il de la nourriture?

< Tu n'a pas eu assez de cran pour me détruire, Rachel. Alors tu m'a laissé sur une île déserte et tu a espéré que la nature ferait le travail pour toi. >

David ne m'a pas demandé qui avait organisé ce plan.

J'ai senti bouffé de frustration. Il avait raison. C'est ce que j'avais fait. David avait mis le doigt sur cette vérité dérangeante.

< C'était horrible, Rachel, > a-t-il continué.

Sa voix était contrôlée, mais à peine. J'ai entendu un drôle de ton. C'était la folie.

< C'est horrible d'être un rat avec une intelligence humaine. Sais-tu ce que ça signifie ? Ca signifie qu'a chaque fois que j'ai été forcé de manger un morceau de chair purifiante, mon cerveau humain été révolté. Chaque jours, la nécessité du rat de survivre m'a incité à faire des choses tellement horrible que mon cerveau humain en était humilié. Dégradé. Répugné.

" C'est ce que je ressent à chaque fois que je mange dans la cafétéria de l'école, " ai-je dis. Déterminé à ne pas le laisser me dominer.

< Laisse les blagues à Marco, > m'a cassé David. < il est bon pour ça. Toi tu es forte pour faire du travail bien propre. >

J'ai reculé.

Peut-être que David était perspicace. Ou peut-être qu'il avait juste une bonne mémoire.

< Oui, je suis futé, > a-t-il dit.

Comme s'il avait lu dans mon esprit!

< C'est vous les Animorphs qui m'avez causé le plus de problèmes en premier lieu. Mais c'est également ce qui m'a incité à rester en vie sur cette île. Et maintenant ce qui m'a démoli moralement va me remettre à mon meilleur niveau. >

- De quoi tu parles?

Même à mes propres oreilles ma voix était fluette. Mal à l'aise.

< Je parle de la défaite des Animorphs, des Yirks, de la race humaine toute entière, > m'a répondu David. < La vie, comme étant le rat le plus futé de île et de tout les rongeurs, c'est ce que vous m'avez fait, Rachel. Vous les Animorphs aviez pensé que vous me condamniez

à un destin plus mauvais que la mort. Mais j'ai transformé l'expérience en occasion. Une occasion de développer mon intelligence à un niveau presque surnaturel. >

Soudainement, David, le rat à tourné en rond. En faisant des cercles de plus en plus petits. Plus rapidement. Puis encore. Comme un tourbillonnement de rongeurs. Ou comme s'il essayait d'attraper quelque chose qui le dérangeait. Ou qui le démangeait.

Après environ dix tours, il s'est arrêté. Pour me faire face à nouveau.

J'ai été tenté brièvement de lui faire une remarque sur les dangers du Prozac ou du lithium mais j'ai gardé la bouche fermée.

David s'est remit à parler. Son ton était rauque comme faisant un effort pour garder le contrôle.

< Au début, la monotonie, la solitude, le désespoir était inimaginable. Devant la supporter jour après jour, sans fin, sur cette roche, exposé aux éléments, seul excepté des milliers d'autres rats, isolés, d'une façon ou d'une autre, comme moi. Mais j'ai survécu, Rachel. Oh oui Et par la suite moi le plus intelligent des rat je me suit lié d'amitié avec quelques uns de mon frères et sœurs. J'ai promis de les mener sur la terre ferme s'ils m'apportaient de la nourriture et m'obéissaient. Comment pouvaient-ils ne pas accepter? Ils ont été obligés d'obéir. Quand ils m'on vu ça à fait tilt dans leur esprit, j'étais leur leader, j'étais né pour ça. Et maintenant mes forces sont ici. >

- Tes forces? J'ai ri.

Il était vraiment fou!

- Quelles forces?

David a ri en retour, m'imitant.

< Les forces de David. Tu vois, je me suis échappé de l'île avec quelques fidèles lieutenants choisis avec soin. >

" Les rats, ai-je pensé, ils n'ont pas pu nager."

- Ils ne pouvaient que se noyer. Ils n'ont pas pu nager.

C'était terrifiant.

< Certains peuvent. Certains ne peuvent pas, > a dit David. < mais nous n'en sommes pas venus jusque là car il y a peu de temps un groupe de naturalistes a débarqués sur l'île pour compter la population d'oiseau. Ils sont venus, naturellement, dans un bateau. Vous n'aviezpas prévu cette possibilité, n'est-ce pas? >

C'était vrai. Nous n'avions pas prévu ça

< J'étais plus futé que n'importe lequel de vous. >

Aucun de nous n'avait pensé que quelqu'un trouverait une raison de visiter cette pile de roche abandonné.

< Il y avait quelques petites espèces malheureuses d'oiseaux sur l'île. Des oiseaux stupides mais leurs oeufs étaient délicieux. Quoi qu'il en soit, alors que les naturalistes étudiaient les nids, je suis monté à bord du bateau avec mes lieutenants et je me suis caché. Quelques heures plus tard, nous étions de retour sur la terre ferme. >

David a marqué une pause. S' il attendait des applaudissements, il pourrait attendre longtemps.

< J'ai envoyé mes lieutenants se charger des recrues, > a-t-il continué, sa voix étant de plus en plus excitée à chaque syllabes. < ils ont fait un excellent travail. J'ai maintenant une force deux fois plus importante. Mais je n'ai pas encore tout terminé. Oh non ! Pas encore. As-tu une idée du nombre de rats qu'il y a sur ce monde, Rachel? Des milliards. Peut-être des trillions. Et moi, David, je les dirigerais tous. >

Ok.

- Et maintenant ?

< Tu as vu de quoi sont capable mes forces, comme soutenir la grange. Avec cette armée de rats, et quelques autres petites choses > a dit David en contractant son nez rose < personne ne peut m'arrêter. >

J'ai regardé les deux gangsters humains qui étaient à ses côtés. Aux ordres et à la disposition de David. Ses mains et ses pieds. Peut-être pourrais-je les dissuader et leur faire entrer de fausses idées dans la tête.

- Hé les gars, vous avez remarqué que vous travaillez pour un rat, quand même ? ai-je dis.

Le tatoué à grogné.

- Il nous paye bien.

- Il vous paye bien ?

J'ai reniflé.

- De quoi parlez vous ? C'est un rat. Vous travaillez pour du fromage ?

David ri d'une manière extravagante.

< Un rat peut aller à beaucoup d'endroits où les humain ne peuvent pas, Rachel. Tu devrais savoir cela. Dans des banques. Dans des entreprises. Aux endroits où l'argent est gardé. Un bon paquet d'argent. Je le vole. Quelques billets à la fois. C'est un travail dur mais c'est bien payé. Au cours des derniers mois, j'ai accumulé deux cents douze mille dollars. >

J'ai vu le Tatoué et la Boule se jeter un regard. Tatoué à déglutit. Pareil pour la Boule. Le simple fait d'évoquer de l'argent les faisait saliver.

< L'argent est dans un endroit sûr, là où aucun humain ne pourra le trouver, > a dit David a eux aussi bien qu'à moi. < et il y en aura encore plus. >

" Alors qu'est-ce que je fais ici" ai-je demandé. " si tu es sur le point de régner sur le monde, qu'est-ce que tu veux de moi?"

David ri.

< Tu ne devines pas? Je veux la justice. Je veux la justice poétique. Je vais te faire à toi ce que tu m'a fait à moi. T'emprisonner. T'enlever ta liberté. >

NOOOOON !

David s'est arrêté arpenter la pièce. Ils s'est posé calmement en face de moi, ses minuscules yeux noirs dans les mien.

< Je vais te forcer à devenir un rat. De façon permanente. >
Revenir en haut Aller en bas
http://yaoidreams.site.voila.fr/
LoloJedusor
Administrateur
LoloJedusor


Nombre de messages : 285
Perso préféré : Rachel
Date d'inscription : 02/11/2005

Extrait francais des Livres Anglais! Empty
MessageSujet: Re: Extrait francais des Livres Anglais!   Extrait francais des Livres Anglais! EmptyJeu 15 Juin 2006, 01:27

La diversion N°49






Chapitre 3



" Laissez-moi prendre ce que je veux." à raconté Cassie.



Marco a déchiqueté un morceau de foin.



" Ils ont voulu des échantillons de sang. Pas argent comptant. Pas de drogues. Du sang." A-t-elle continué.

Nous étions dans sa grange. Le centre de réinsertion de la vie sauvage. Un abri pour les animaux blessés. Les parents de Cassie sont tout les deux vétérinaires. Sa mère travaille au Parc, une combinaison zoo/attractions où nous avons prit la plupart de nos animorphes de combat. Son père travaille à la clinique ici à leur ferme. Cassie l'aide.



En ce moment elle était en train de recoudre un cerf qui s'était fait tiré dessus. Dans la cuisse. Le reste du groupe essayait de ne pas se concentrer sur l'aiguille hypodermique dans sa main.

" Le reste du groupe " c'est à dire Jake: le cousin de Rachel, l'amour de Cassie, et

le chef de notre petite bande. Ax l'étranger: le petit frère d'Elfangor et, aussi étrange que cela peut-être, mon oncle. Marco: le meilleur ami de Jake et le compagnon de chambre à temps partiel d'Ax. Rachel, naturellement: la meilleure amie de Cassie, la fille opposé à elle. Et moi: Tobias. L'Enfant-Oiseau. Qui à pour devoir de surveiller notre petite assemblé de là haut, dans les combles.



Cassie a tapoté le cou du cerf. " C'est bon, ma fille."



Ax à caressé l'animal. Il était sous sa forme normale d'Andalite. Ca ne m'aurait pas étonné

si le cerf le visualisait en tant que cousin éloigné. Un cousin éloigné excentrique qui mange par ses sabots. Cassie s'est tourné pour nous faire face "Est tout que je sais c'est ce que maman a dit. Deux hommes ont pénétré par effraction dans sa salle vétérinaire la nuit passée. Ce n'était pas le fracas et le désordre habituels, non, ils n'étaient pas à la recherche de drogues, ce qui a étonné maman, non, ils voulaient des échantillons de sang, échantillons

spécifiques de sang. Tigre. Éléphant. Aigle. Rhino et grizzly. Gorille et loup."



Rachel l'a regardé. " nos animorphes de combat."



" Ouais." Cassie à incliné la tête. " ils n'ont montré aucun intérêt pour les coyotes ou les babouins. Un des spécialiste du laboratoire de maman est tombé sur eux.

Elle m'a jeté un coup d'œil.

" il leur a dit que le Parc n'avait pas eu de faucon à queue rousse.".

Sept paires d'yeux, y compris les yeux tentaculaires d'Ax, ont regardé dans les combles. J'ai tourné une aile.

Cassie a continué. " le spécialiste de laboratoire a indiqué qu'ils été froids et méthodiques jusqu' à ce moment là, mais quand ils ont appris qu'ils ne pouvaient pas obtenir l'échantillon de faucon, ils ont paniqués. Comme s'ils avaient peur de partir sans celui-ci."



" ouais, je pari, " a dit Marco. " je pari qu'ils ont mouillés leur pantalon en se demandant comment expliquer à Vysserk qu'il n'y avait pas cet échantillon."



Vysserk Un, le mal incarné. Le Yirk responsable de l'invasion de la terre, récemment augmenté du rang de Vysserk trois.



Le meurtrier d'Elfangor. En fait, il était responsable de beaucoup plus de meurtre que nous n'avions jamais su .

Rachel incliné la tête. " nos animorphes de bataille? Le Parc? Des voleurs qui paniquent pour du sang de faucon? Certainement des Yirks."

" ouais, " a convenu Jake. " mais les Cheys n'ont rien entendu, pas de rumeurs. Et nous n'avons pas intercepté de transmissions de Yirk au sujet d'un nouveau projet. De plus c'est depuis là, celui qui semble le plus important. Nous ne devons rien faire de stupide. Nous

devons vraiment tout analyser."



" C'est clair, réfléchissons avant de faire quelque chose de stupide, " a dit Marco. " première question: Pourquoi les Yirks auraient besoin de sang animal ? Ils auraient inventé une

nouvelle méthode pour la morphose?"

Les yeux tentaculaires d'Ax se sont fendus. < Les Yirks n'inventent pas. Ils volent. Tout ce qu'ils ont, ils l'ont pris à une espèce. Le plus notamment aux Andalites. Ils n'ont pas l'intelligence - ou l'intégrité - d'inventer une technique morphing de leurs propres moyens.>



Est-ce que j'ai mentionné que les Andalites étaient un petit peu arrogants?





Cassie a regardé Jake.



" Ils sont après quelque chose de plus grand. Je pense que Ax a raison " a-t-il dit. Tom a apporté une nouvelle hier à la maison. Le partage fait une collecte énorme de sang."



Tom est le frère, plus âgé, de Jake.

Tom est un contrôleur, un membre de haut-rang du partage.

L'organisation cachée des Yirks.

Cassie a inspiré profondément " voici ce que j'en pense. Il y a qu'une raison pour que les Yirks soient soudainement intéressé par le sang. ADN. Ils rassemblent des échantillons de nos animaux de morphose, et ils rassemblent autant d'échantillons humain qu'ils peuvent avec une excuse bidon." Elle nous a regardés. " ils recherchent des humains avec des fibres d'ADN animal dans leur sang."

Silence.

" Ce qui signifie - " dit Marco.

" ils savent que nous sommes humains, " a répondu Rachel.
Revenir en haut Aller en bas
http://yaoidreams.site.voila.fr/
LoloJedusor
Administrateur
LoloJedusor


Nombre de messages : 285
Perso préféré : Rachel
Date d'inscription : 02/11/2005

Extrait francais des Livres Anglais! Empty
MessageSujet: Re: Extrait francais des Livres Anglais!   Extrait francais des Livres Anglais! EmptyJeu 15 Juin 2006, 01:28

L'ultime N°50





Les sœurs de Rachel se sont blotties contre leur mère. Kate a pris sa main. " je ne pense pas que tu soit inutile, Maman, " a-t-elle chuchoté.

Une larme à roulée sur la joue de Sara.

Naomi a déglutie et a redressé son menton. Ses yeux ont durci et elle a regardé les deux gardes Hork-Bajirs. " ne me touchez plus, " a-t-elle dit froidement. " ne touchez personne de ma famille. Sinon , je … je... " Elle s'est interrompue. Avalé sa salive, dégluti et a essayé encore. " sinon je.. j'aurais la force de... ".En conclusion, la réalité naissait sur elle. Elle était lente à s'infiltrer, mais la vérité était pénétrante.

La mère de Rachel était avocate, elle était habitué aux situations difficiles pourtant elle se rendait compte de l'incroyable vulnérabilité dont nous faisions preuve.

J'ai entendu rire Marco, un rire lointain. Ses parents étaient les seuls qui étaient ensembles quand ont leur avait proposé de se battre avec nous -- et de devenir des réfugiés.

Les larmes ont coulées goutte à goutte en bas du visage de Naomi. Elle s'est sentie fragile, elle ne pouvait qu'observer se qui arrivait et rien ne pouvait soulager sa douleur. Mais Naomi choisirait-elle d'être l'alliée de sa fille?

D'un gosse?

Alors Eva nous a rejoint, elle a mit son bras autour des épaules de Naomi. " il faut un moment avant d'accepter la réalité, " a-t-elle dit doucement. " avancez. Nous allons parler."

Lentement, les deux femmes ont marché vers la carlingue d'Eva. Kate et Sara ont suivi de près.

" tu vas pouvoir parler à Rachel?" ai-je dis tranquillement à Jake. "elle est en colère, elle ne sait pas quoi dire à sa mère, Naomi est plus déterminée qu'elle ne le pense."

La voix de Jake était agacée. " j'ai essayé de parler à Rachel et elle ne m'écoute pas. Alors, non, je ne lui en reparlerais pas. Et non, je ne veux pas te parler au sujet de se que je ressent.".

Je me tenais parfaitement droite, je lui avait toujours fait confiance pour tout. Je me suis senti comme si il m'avait giflé.

Jake a baissé les yeux, s'est tourné et a commencé à marcher.

J'ai l'ai agrippé. " Jake! Tout se casse la figure !"

Il s'est tourné vers moi. Ses yeux étaient sauvages et foncés.Pour la première fois depuis que je connaissais et avais aimé Jake, je me suis senti effrayé par lui. Effrayé de se qu'il pouvait devenir.

" Tu crois que je ne le sais pas? Je vois que nous sommes en train de perdre. Erreurs sur erreurs. Je sais que nous sommes aux à nos limites. Et je sais que s' il n'étaient pas à Toby, ce camp entier serait probablement une cicatrice sur la terre à ce jour. Ce que je ne sais pas, Cassie, et c'est ça le plus dure. Ce que je ne sais pas c'est ce que je suis censé faire."

J'avais déjà entendu l'expression, ' j'ai le cœur brisé '.Maintenant, je savais ce qu'elle signifiait.

J'ai mis ma colère de côté et je me suis assise près de Jake.

" il est temps que tu te reprennes, " ai-je dit calmement " ces personnes, nos parents, ont été entraînées ici -- dans un camp de refuge -- contre leur volonté. Leur monde a été détruit. Nous devons respecter leur hésitation à combattre à nos côtés. Mais, Jake, quelqu'un doit prendre les commandes."

" fini. Tu prends le relais."

" Non, " ai-je dit fermement. " je ne suis pas un chef, Jake. Tu en est un. Tu vas devoir parler à mes parents. Et à la mère et aux sœurs de Rachel. Et même à la maman de Tobias."

" pourquoi m'écouteraient-ils?" a paré Jake. " regarde la situation. Nous nous cachons dans la forêt, vivant sur la charité des Hork-Bajirs. Si tu était un adulte -- ou même quelqu'un d'autre, mais pas Cassie - tu m'écouterais? Non, tu ne le ferais pas . Alors pourquoi tu ne me laisse pas juste seul?"

Il m'a regardé. J'ai alors tourné la tête.

" S'il te plaît, Cassie."

Jake s'est relevé et m'a contourné par la gauche.

" cesse de te sentir désolé pour toi-même, " ai-je crié après lui. Cesse d'être désespéré.

Il ne s'est pas arrêté.

" Tu es un lâche!"

Au moment même où les mots sont sortis de ma bouche, je les aient regrettés

Jake s'est arrêté. Tourné. Son visage était celui d'un étranger. " commenttu m'a appelé?"

Il m'avait entendu. Trop tard pour ravaler mes paroles. " un lâche, "Ai-je répété, sans sourciller. " maintenant que c'est la crise finale, Tu te retourne contre nous, comme un traître."

Je ne me suis pas attendu à son rire las. " je ne suis pas un traître, "a-t-il dit. " j'essaye juste de donner à tout le monde une chance de combattre. Je ne vais pas exiger que les gens fassent ce que je dis quand je n'ai pas la moindre idée de ce qu'il faut faire. Que se soit futé ou stupide. Cassie, c'est de mon défaut dont nous sommes en train de parler. Tu ne peux pas le nier ."

J'ai pris un souffle profond et ai essayé de raisonner .

J'ai pris sa main et jugé de la serrer.

" peut-être que tu as raison, Jake. Et peut-être qui tu as tort. Peut-être que tu n'est pas un bon chef, après tout."

Il a essayé de s'écarter mais je ne le laisserais pas partir.

" Non, Jake. Ecoute moi. Si c'est la vérité, tu dois prendre les responsabilités. Et si tu est vraiment en panne et que c'est vraiment ton défaut, puisse-en tes responsabilité de nous faire sortir d'ici. Nous avons besoin d'un chef, Jake. L'une ou l'autre solution, ce doit être à toi de la mener."

C'était un projectile bon marché Le talon d'Achille de Jake. Il Avait toujours été à cheval sur ses responsabilité. Je pouvais le voir s'affaiblir.



" Marco peut être responsable, " a-t-il dit sans détournement. Encore une fois il a écarté sa main . Cette fois je l'ai laissé partir. " il est plus futé que je ne le suis. Ou Tobias. Ou Ax ou toi. Ou même Rachel. N'importe qui. N'importe qui mais pas moi. Tu sais pourquoi j'étais même responsable dans l'endroit de poing, Cassie? Puisqu'une fois, il y a un long temps, Marco a dit qui j'étais.".

" Jake, ce n'était pas toute la vérité... "

" bien, maintenant ma période de chef se termine, " continua-t-il amèrement. " ainsi que direz-tu pour une fois que se soit les types dehors qui me disent quoi faire."

Alors il s'est tourné et a marché.

Juste marché.
Revenir en haut Aller en bas
http://yaoidreams.site.voila.fr/
LoloJedusor
Administrateur
LoloJedusor


Nombre de messages : 285
Perso préféré : Rachel
Date d'inscription : 02/11/2005

Extrait francais des Livres Anglais! Empty
MessageSujet: Re: Extrait francais des Livres Anglais!   Extrait francais des Livres Anglais! EmptyJeu 15 Juin 2006, 01:29

L'absolue 51




Chapitre 8



Jake a froncé les sourcils.

" Ainsi, où vous avez laissé le tank ?"

Tobias et moi nous nous sommes regardés.

Nous étions de retour dans la vallée des Hork-Bajirs, assis autour du feu de camps en dehors de la cabane de mes parents. Les grillons ont sifflés. Le soleil a baigné la vallée dans des rayons couleur ambres. Champ, le chien de la mère à Tobias, sommeillait à nos pieds.

Tout était paisible. Tout était beau.

C'était un conseil de guerre.

Les habitués étaient tous présents. Moi, Tobias, Rachel, Cassie, Jake et Ax et, puisque nous nous étions déplacé dans la vallée, nous avions ajouté deux membres supplémentaires.

Toby, le seer Hork-Bajir. Seer, signifiait qu'elle était plus futée que les autres Hork-Bajirs. Ce qui signifiait que deux plus deux avait réellement une signification pour elle. Ainsi que la physique

Le deuxième nouveau membre était ma mère.

" le tank." J'ai repris mon souffle. " bien, vous connaissez la maison de Chapman?

J'ai jeté un coup d'œil à Tobias.

" Eh bien la partie arrière donnera à Chapman un gentil approvisionnement en bois de chauffage pour cet hiver. Il est déjà empilé pour lui."

Tobias a souri. " C'est dommage il n'a plus de cheminée."

" excusez-moi?" a dit Rachel. " vous avez aplati la maison de Melissa?"

Elle m'a regardé. Melissa Chapman et elle avaient étés amies. Avant que le père de Melissa soit devenu un contrôleur et que Rachel soit devenue un Animorphs.

Elle s'est tourné vers Tobias. " et tu es allé avec lui?"

" Hé. Doucement, ma fille, " ai-je dit. " tu es simplement furieuse parce que tu n'a pas pu conduire le tank. Personne n'a été touché. Personne n'était dans la maison. Pas même Micho du Rôminet ou quel que soit le nom de ce chat stupide."

" Micha du Rôminet, " a-t-elle dit.

" OH. Excusez-moi. Micha du Rôminet. C'est tellement mieux. Quoi qu'il en soit, ils vont tous très bien. Mélissa, ses parents, son chat."

Tobias à incliné la tête. " ils sont à la rue, tout simplement."

Rachel a secoué sa tête. Elle à regardé Jake pour qu'il l'a soutienne.

Jake ne dit… rien.

Nous avons attendu sa réprimande. Pour son amusement mal caché. Il a dit: " ce n'est pas exactement ce que j'ai voulu dire par profil bas, Marco." Toute la conception normale de Jake.

Le feu à tressauté. La veste en nylon de quelqu'un a grincé. Ax a coupé un moustique avec sa queue mauvaise d'Andalite.

Jake soupiré une nouvelle fois et a poussé les braise du feu avec un bâton.

J'ai froncé les sourcils. J'ai regardé Ax. Il a haussé les épaules, un des gestes humains qu'il a apprit.

Depuis que nous avions évacué dans la vallée, Jake avait été comme un robot sur pilote automatique. Je ne savais pas quoi lui dire.

C'était Jake. Mon meilleur ami depuis la maternelle, et nous n'arrivions pas à avoir une conversation qui ne serait pas superficielle et sans signification.

Et encore moins ce qu'il y avait dans sa tête.

Une partie de ce qu'il pensait me concernait. Ma culpabilité. Ouais, la grande nouvelle, appelez la presse , Marco se sent coupable.

Bien, pas vous? Ma famille était sûre, récupéré, ensemble, alors que celle de Jake avait été déchirée. Il n'avait qu' une chance très mince de les récupérer un jour.

Mais ce n'était pas exactement pour ça que je me suis senti coupable.

Je me suis senti coupable parce que j'étais heureux. Heureux que ma maman soit de retour. Heureux qu'elle et mon père soient toujours amoureux.

Mon meilleur ami avait perdu tout ce qui comptait pour lui.

J'ai jeté un coup d'œil à Cassie. Elle était assise sur la vieille table de pique-nique que Ax et moi avions trouvé et avions amené au camp. En arrière du feu. En arrière du groupe entier.

Je me figurais que si quelqu'un pouvait comprendre et aider Jake, c'était Cassie Je veux dire, elle est Cassie.

Mais depuis notre dernière mission, depuis que les Yirks avait volé le cube bleu, Jake était plus éloigné d'elle que de quiconque.

Éloigné?

Là où Cassie été concerné, Jake été complètement fermé. Comme si une porte en fer avait claqué.

" mais vous avez obtenu des information?" Toby a regardé Tobias, puis moi. Elle été tapie dans l'herbe, la lumière naturelle intensifiant le feu dans ses yeux de Hork-Bajir. " vous avez découvert quelque chose d' utile?"

Tobias a caressé les oreilles de Champ. " tu veux dire avant que nous ayons volé la propriété de gouvernement, que nous ayons mis en danger des automobilistes innocents, et nivelé une maison suburbaine modéré-évaluée?".

" oui" Elle a incliné la tête. " avant toute ça."

" bien, nous sommes parvenus à atteindre un bon endroit pour regarder le train, " ai-je dit. " la garde nationale ne déplaçait pas ces tanks. La garde nationale n'est pas régulière et non infestée de toute façon."

" la garde nationale est non infestée." Jake incliné la tête. A remué le feu. " nous avions supposé que ça se passerait comme ça."

Il s'est tourné vers ma mère. " Eva, est-ce là notre chance ou avons nous tort?".

" Je ne sais pas" Ma mère a la tête. " si Vysserk Trois avait assuré la garde nationale tandis que j'étais Vysserk un, j'aurais su ce qu'il fallait faire. Qu'est-ce que je dis? Tout le monde connaît le sujet. Ce dont Vysserk s'est assuré."

" et depuis?" à demandé Jake. " puisqu'il a été promu Vysserk un?"

" non." Ma mère à encore secoué la tête. " Pas assez de temps. Nous parlons de milliers de soldats, nous sommes étendus au-dessus de l'état entier. Et ils ne sont pas tous sur le service actif. Ils ont des guerriers en week-end, il y a aussi ceux qui ne sont même pas avec leurs unités. C'est une exécution énorme. Il faudrait des mois pour élaborer un plan, et encore plus de temps pour l'exécuter."

" C'est vrai" à admit Jake . Il a poussé le feu avec son bâton. " avec tout le mouvement de troupe des derniers jours, nous pouvons supposer que l'étape de planification est finie. L'étape d'exécution commence.

Nous pouvons également supposer qu'au moins certains des plus hauts officiers sont des contrôleurs. Autrement, Vysserk ne pourrait pas faire entrer tous ces soldats dans la ville. Ils seront tous infestés. Bientôt. Nous ne pouvons pas les laisser faire."

< mais pouvons nous les arrêter ? > à demandé Ax, sa fourrure bleue a brillé dans le lumière du feu. < même avec James et l'autre nouvel Animorphs, sommes-nous assez grands? Assez fort? >.

" non. Nous ne le sommes pas. Nous avons besoin d'aide." Un pas. Un pas. Pousser le feu.

" C'est pour quoi nous devons nous séparer. Un groupe sera le groupe de In-your-Face." Jake a jeté un coup d'œil à Rachel. " ce groupe créera le chaos avec les troupes nationales de garde. Ils maintiendront regroupé les Yirk aussi longtemps que possible. Ils sont postés partout dans la ville, ainsi nous devrons continuer à nous déplacer pour frapper toutes les bases. Mais nous devrons également séparer les forces de Vysserk pour essayer de les arrêter. Il faudra se donner rendez-vous."

" nous avons projeté de libérer le groupe de Hork-Bajirs qui gardent les sièges sociaux de partage, " a dit Toby. " nous pouvons être prêts à y aller dans la matinée.".

" bien." Jake incliné la tête. Entraîné. Poussé. ". Le groupe deux sera plus petit, plus silencieux. Ils devront montrer peu plus de finesse."

" finesse?" Rachel m'a jeté un regard. " OH, ouais. Certains d'entre nous sont si bons à ce jeux là."

" nous devrons y être, "a dit Jake. " il n'y a qu'une seule personne qui a assez d'autorité pour arrêter le mouvement de la garde nationale. Le gouverneur. Le groupe deux doit voyager au capitol. Obtenez du gouverneur d'une façon ou d'une autre son accord pour nous aider."

" j'irai, " à dit Cassie.

" non, " a répondu Jake, avant même que les mots soient sortis de sa bouche

Cassie s'est raidie. Elle à regardé .Jake , il ne lui à pas rendu son regard.

Au lieu de cela, il m'a gratifié d'un sourire à moitié sarcastique. Un aperçu du vieux Jake.

" si quelqu'un peut manipuler un politicien, c'est Marco. Et Tobias peut retourner au capitol sans se perdre.

Nous devons également nous assurer que le gouverneur n'est pas un contrôleur, et Ax est le juge le plus qualifié. Voilà le deuxième groupe. Marco, Ax et Tobias.".

Il a finalement regardé Cassie. Il a fixé son regard sur elle.

" je peux leur faire confiance, " a-t-il dit.

Silence. Comme s'il ne pouvait pas faire confiance à Cassie? Ok, peut-être que Cassie voudrait sauver une forêt ou deux sur le chemin vers le manoir du gouverneur. Cela ne signifiait pas que Jake puisse douter ainsi. Cassie était la personne la plus digne de confiance que je connaissais.

Mais Jake lui a tourné le dos.

" je serai avec le groupe un. Rachel. Toby et certains de ses membres. Le groupe de James, aussi.

Nous essayerons de faire du chaos avant minuit. Marco, vous devez atteindre le gouverneur à une certaine heure

demain. Pas n'importe quand, il faut que vous arriviez juste.".

Il a cessé d'arpenter. Cessé de pousser le feu. M'a regardé. Puis Ax et Tobias.

" je sais que ça fait melodramatic, mais nous ne pouvons plus combattre seuls . Nous avons besoin des autorités de notre côté. Si le gouverneur est libre, vous devez le convaincre. S' il est un contrôleur, hé bien, vous devez trouver une solution pour remplacer le gouverneur par le lieutenant. Les résultats de la guerre dépendent de votre réussite.".

" OH, Bien, " ai-je dit. " Du moment qu'il n'y a aucune pression."

" Et essayez de faire ça silencieusement. Nous n'avons pas besoin de Vysserk un derrière nous."

Il a encore à moitié sourit. " Et la ville du capitol n'a pas besoin de plus de bois de chauffage. Je compte sur vous pour un peu de sang-froid."

" sang-froid? Marco?" Rachel a secoué sa tête. " nous avons de sérieux ennuis."
Revenir en haut Aller en bas
http://yaoidreams.site.voila.fr/
LoloJedusor
Administrateur
LoloJedusor


Nombre de messages : 285
Perso préféré : Rachel
Date d'inscription : 02/11/2005

Extrait francais des Livres Anglais! Empty
MessageSujet: Re: Extrait francais des Livres Anglais!   Extrait francais des Livres Anglais! EmptyJeu 15 Juin 2006, 01:29

Le sacrifice 52




Tard dans la nuit il était plus facile de prendre le transpondeur espace-Z sans être vu Sous le protection de l'obscurité je pouvais partir du camp sans qu'aucun Hork-Bajirs ou humain de surveillance me repère.

J'ai été le plus loin possible du camps. Je n'avais pas beaucoup de temps et je ne voulais pas non plus attirer les Yirks trop près du camp.

Dès que j'ai atteint un endroit à une distance qui me paraissait sûre, j'ai activé le transpondeur Espace-Z. J'ai écouté les distorsions de bruit comme un son de vagues dans la galaxie, cherchant à trouver le chemin vers la planète-mère des Andalites.

Après un court délai, une réponse est apparue. Codé, oui. Mais un code avait été soigneusement établi. Numérique mais parlé. Il suffisait que je traduise.

< Aximili-Esgarrouth-Isthil? >.

< C'est moi > J'ai donné le mot de passe pour libérer le canal de transmission.

< Au rapport, > m'a demandé brusquement le commandant.

< Tout ce passe comme vous l'aviez prévu, > ai-je dit à Jaham-Estalan-Forlan, un prince de guerre et le chef des militaires Andalite. < La résistance humaine perd rapidement son efficacité. Il combattent mal. Il y a des tensions. La discipline disparaît. >

< Ils ne savent rien de nos transmissions précédentes? >

< Ils n'en savent rien, > ai-je confirmé.

< Bien >

<Les Yirks se concentrent de plus en plus ici. Ils transportent de force des milliers d'humains au regroupement central Yirk par l'intermédiaire du système de souterrain. En revanche, la résistance projette de détruire ce bassin central. >.

Jaham-Estalan-Forlan a émit un bruit d'impatience

< Ils pensent vraiment pouvoir faire partir les Yirks en détruisant seulement leur bassin central? >

J'ai senti un besoin de défendre mes amis. < C'est tout ce qu'ils peuvent faire - pour l'instant... > J'ai alors réalisé que ma défense augmentait seulement le mépris de Jaham-Estalan-Forlan pour la race humaine. Il pensait que si la résistance n'avait aucun autre plan de défense que mon excuse bidon, ils ne méritaient pas de survivre.

< J'ai rencontré le commandant supérieur et il a prit sa décision. Si les Yirks continuent de se concentrer sur la planète Terre, nous n'allons pas intervenir et nous allons continuer à les laisser faire. Une fois que la majeure partie de la race Yirk aura été transportée sur la Terre, la planète sera mise en quarantaine. >

Quarantaine.

Un mot poli pour laisser les humains tomber sous l'esclavage des Yirks. J'ai pensé à Jake. Aux autres. Tobias. Après toute ses années passées avec, je ressentais de l'affection pour eux.

< Aximili? Tu m'a entendu? >.

Oui, j'ai ressenti de l'affection. De l'amour, même. Mais j'étais toujours un Andalite. J'étais toujours un soldat. Et c'était toujours une guerre.

< J'ai entendu, > ai-je répondu.

< Ne faites rien pour empêcher la concentration de Yirk sur terre. Arrêtez l'attaque de la résistance sur le Bassin. Nous devons laisser les Yirks croire qu'ils ont gagné. Tu comprend ? >

Oui, j'avais compris.

Est-ce que je pouvais faire ça à Jake?

Est-ce que je pouvais faire ça aux autres?

Jamais.

< Une fois la planète en quarantaine, > a continué le prince de guerre Jaham, < nous serons en mesure à négocier. Nous négocierons une symbiose paisible entre les humains et les Yirks. >

Je me suis demandé si c'était vraiment l'intention des chefs supérieurs Andalites. Les supérieurs dédaignaient les humains, mais ils savaient grâce à mes rapports qu'ils étaient très ingénieux. Très déterminés. Très tenaces.

Des millions de Yirks avec ces caractéristiques humaines constitueraient une menace intolérable.

Une quarantaine ne se tiendrait jamais. Pas même si chaque vaisseau de la flotte Andalite étaient assigné pour maintenir l'ordre sur les périmètres atmosphériques de la terre.

Le mélange Yirks-Humains l'éliminerait. Et ils pourraient alors conquérir tout ce qui se trouverait sur leur chemin.

< Est-ce qu'il y a eu un changement dans l'acquisition de la technologie? > m'a demandé Jaham-Estalan-Forlan.

Je savais qu'il fallait que je lui dise que les Yirks étaient en possession de la technologie de la morphose.

Mais je ne l'ai pas fait.

< Non, > ai-je indiqué.

Peut-être que je leur dirais la vérité plus tard. Je voulais du temps pour considérer ma réponse. Pour savoir comment une telle révélation affecterait les plans des commandants Andalites pour la planète.

C'était une décision indisciplinée, ma décision de cacher la vérité. Ce n'était pas à moi d'imaginer les conséquences à la place de mes supérieurs. Peut-être avais-je été sur terre trop longtemps.

Immédiatement, j'ai regretté mon mensonge. Mais j'avais donné ma réponse. Et c'était trop tard pour changer.

Le prince Jaham m'aurait immédiatement demandé pour quelle raison j'avais menti en premier lieu.

Par ailleurs, j'ai soudainement entendu des vaisseaux cafards qui se rapprochaient, suivant la trace laissée par les signaux du transpondeur espace-Z.

Rapidement j'ai coupé la connexion avec ma planète et j'ai commencé a morphoser en hibou, un excellent moyen de transport pour la nuit. Le transpondeur Espace-Z était assez petit pour tenir entre mes serres.

Au moment où les vaisseaux cafards planaient au-dessus de ma position précédente, je m'envolais discrètement vers le camp.

Quarantaine.

Quarantaine.

Quarantaine.

Le mot se répétait et se répétait dans ma tête. Tout dépendait d'une raison politique, mais il y a certaines choses que les hauts commandants ne savaient pas. Parce que justement, ils n'étaient pas sur place.

Le but indiqué était la quarantaine.

Les commandants indiquaient la quarantaine.

Mais chacun savait qu'une quarantaine serait impossible à soutenir. Pour imposer une quarantaine, les Andalites seraient forcés à s'engager.

Et une fois engagés, ils détruiraient la planète et chaque espèce vivante dessus. Ainsi que les Yirks et les humains.

La quarantaine était la première étape vers le génocide.

Les hauts commandants avaient prit leur décision. La conquête Yirk de la galaxie s'arrêterait ici sur terre.

Le camp était en vue. J'ai souhaité pouvoir simplement continuer à voler. Peut-être deviendrais-je un nothlit. Libre de ne pas porter les terribles fardeaux des secret et de la trahison.

Je me suis rappelé le Faucon Yirk. Cinq minutes encore avant la liberté.

Mais le prix de cette liberté était élevé.

Peut-être trop élevé
Revenir en haut Aller en bas
http://yaoidreams.site.voila.fr/
Dameg
Elève Guerrier
Elève Guerrier
Dameg


Nombre de messages : 142
Age : 39
Perso préféré : Aftran, Ax et Marco
Date d'inscription : 05/01/2009

Extrait francais des Livres Anglais! Empty
MessageSujet: Re: Extrait francais des Livres Anglais!   Extrait francais des Livres Anglais! EmptyLun 05 Jan 2009, 05:21

J'ai aussi réalisé quelques traductions :

Animorphs #47 The Resistance :
(Jake et Tobias viennent de montrer leur pouvoir à des campeurs, afin de les convaincre de quitter les lieux avant que l'armée de Esplin-9-4-6-6 (l'ancien Vysserk 3) n'attaque le camp des Hork-Bajirs libres...)

CHAPITRE 13 (fin)

[...]
- Qui... Qu'est-ce que vous êtes ? s'écria l'homme.
- C'est une longue histoire, dis-je, de nouveau entièrement humain. Je ne peux pas tout expliquer maintenant, mais vous devez nous croire, nous ne sommes pas là pour vous faire du mal.
Les campeurs étaient silencieux. Du moins aucun ne s'enfuit.
- A un moment, avat demain midi, di-je solennellement, une armée d'aliens va marcher à travers cette vallée. Si vous êtes encore là, ils vont tuer chacun d'entre vous.

CHAPITRE 15

Les campeurs nous crurent.
La première frayeur passée, leurs visages s'adoucirent pour montrer de la curiosité et de la reconnaissance. Un adulte récupéra le gosse qui s'était enfui dans les bois. Les autres se jetaient des coups d'oeil les uns aux autres, puis à nous et, soudain, ils commencèrent à faire de grands sourires.
Je n'en revenais pas.
- Nous suivrons vos instructions, dit l'un des hommes.
Environ douze des autres acquiescèrent.
< OK. C'était trop facile >, me dit Tobias en privé.
L'homme qui avait parlé fir délicatement un pas vers nous. Comme si le craquement d'une branche avait pu nous faire disparaître.
- J'ai attendu toute ma vie de prendre contact, dit-il soudainement. Mon nom est Richard Carpenter. Comment vous faites-vous appeler ? Quel système appelez-vous "maison" ?
- Quel système ?
- De quel système solaire êtes-vous originaire ? Etes-vous avec la Fédération ? Votre vaisseau est-il en orbite ou sur terre ?
Incroyable ! J'eu presque rit.
- Heu, dis-je, nous sommes originaire de la Terre, juste comme vous.
- Ah, oui, dit Richard. J'ai toujours su que vous viviez parmi nous. J'ai des amis qui ont vu vos vaisseaux.
- Nous n'avons pas de vaisseau, dit Tobias.
Richard tendit le bras, saisit la main de Tobias, et la secoua dans une trop-longue poignée de main. Ensuite il saisit ma main.
- Je suis honoré de vous rencontrer. Tellement, tellement, tellement honoré.
- Pouvez-vous devenir tout ce que vous voulez ? demanda Lewis.
- Non, pas tout, mais beaucoup de choses. Tous les animaux que nous touchons, dis-je.
Ouais, la morphose était grossière et inconfortable. Mais il y avait bien longtemps, je me souvenais que c'était aussi très très cool.
Lewis fit un large sourire.
- Alors, comme ça, quelle est votre forme naturelle ?
- Nous sommes juste des gosses normaux avec un pouvoir spécial, dit prudemment Tobias. Nous ne sommes pas des aliens.
- Si vous ne voulez pas que nous vous appelions "aliens", nous ne vous appellerons pas "aliens", dit Richard avec un clin d'oeil.
< Jake ? Ces gens ont passé bien trop de temps à regarder Star Trek. >
- Ecoutez, dis-je. Il y a des aliens qui viennent sur Terre, mais nous, nous sommes juste des gosses normaux. Vous savez, des gamins d'ici. Qui essaient de les arrêter. Les méchants aliens.
Le front d'Emily se rida avec scepticisme.
- C'est une longue histoire, soupira Tobias. Croyez-nous juste. S'il-vous-plait. Vous devez vous tirer d'ici.
- Ne pouvez-vous pas juste nous téléporter ailleur ? demanda Lewis.
- Ou vous pourriez générer un bouclier qui nous entourerait, dit un autre gosse avec des cheveux blonds en pointes et des lunettes de soleil. Vous pourriez entièrement encloisonner notre campement, comme ça nous pourrient regarder toute l'action !
- Ouais ! s'exclama l'une des femmes adultes.
- OK, écoutez, dis-je, agaçé. C'est la vie réelle. Ce n'est pas un épisode de Star Trek. Je ne suis pas le Capitaine Picard. Je ne peux vous téléporter nulle part.
- Justin, dit Richard au gamin blond. Il ne peuvent pas mettre ce genre de technologie entre nos mains. Ca violerait la Première Directive.
- Oh, exact, chuchotta bruyamment Justin. Bien sùr.
Richard me regarda.
Je sais que vous révéler à nous est une violation majeure de la Première Directive. Mais vous avez bien fait. Nous sommes prêts pour le contact.
Tobias grogna.
- Êtes-vous des fans officiels de Star Trek ou quelque chose comme ça ?
- Eh bien, ouais. Emily rougit. Nos parents aussi, comme mon père ici, dit-elle en montrant Richard. C'est la sortie-camping annuelle. Vous savez, quelques jours loin des ordinateurs, des vidéos et tout ça.
- Alors vous n'êtes pas avec la Fédération ? insista Richard.
Tobias et moi aidâmes à démonter le campement. En moins d'une heure, tout le monde avait tout rassemblé et empaqueté sur leur dos.
- Vous devez prendre le chemin le plus rapide pour sortir de la vallée, expliquai-je. Les Yirks vont arriver par le sud, alors vous ne pouvez pas aller par là.
- Qui sont les Yirks ? demanda Emily.
Je regardai Tobias. Il haussa les épaules, puis secoua la tête/acquiesça.
- Je vais vous dire, dis-je, mais vous devez promettre de ne rien dire à personne à propos de ce que vous aurez vu ou entendu ce soir. La discrétion est essentielle. Pour notre sécurité et pour la vôtre. Pour la...heu... Fédération. Pouvons-nous compter sur vous ?
- Absolument, dit une adulte. S'il y a une chose que nous pouvons faire, c'est garder un secret intergalactique.
J'ignorai le noeud dans mon estomac. Je prenais un risque avec ces gens et je le savais. Leur vie était entre mes mains. Mais les temps étaient désespérés. Les choses avaient changé.
- OK. Les Yirks sont des parasites. Dans leur forme naturelle, ce sont juste des limaces. Pratiquement aveugles, sourdes et muettes. Ils ont besoin de corps grâce auxquels ils peuvent vivre et être puissants. Comme les Hork-Bajirs.
- Hork-Bajir ? répéta Lewis.
- Une espèce d'aliens naturellement inoffensifs. Presque tous réduits en esclavage par les Yirks. Les Yirks viennent détruire la petite colonie d'Hork-Bajirs libres dans cette vallée et infester les survivants.
- "Infester" ? dit Justin.
- Ouais, infester, dis-je. Les Yirks rampent à l'intérieur de votre tête en passant par votre canal auditif. Puis ils s'attachent à votre cerveau. Vous réduisent en esclavage. Prennet le total contrôle de votre esprit. Vous devenez ce que nous appelons un Controleur. Un prisonnier dans votre propre tête. Basiquement, vous pouvez dire au-revoir à toute liberté de volonté. Les Yirks vous manipulent totallement pour prendre d'autes corps pour d'autres Yirks.
Justin fit une grimace.
- Pourquoi les gens ne disent pas juste quelque chose comme "non" à ces Controleurs ?
- Ce n'est pas si facile, dit Tobias. Les Controleurs ont l'air comme tout le monde et agissent juste comme vous et moi, ce qui les rend très dangereux. (Ecoutez, les Yirks utilisent la trahison.) Aucun ne peut être cru.
- Personne, soulignais-je. Ni les voisins, ni la famille, ni les amis. C'est pour cela que vous devez tenir votre langue à propos de ce que vous avez vu. Et à propos de tout ce que vous pourriez voir. Parce que si un Controleur vous surprend, vous êtes de l'histoire ancienne.
< Bien essayé >, dit sèchement Tobias. < Mais tu sais que quelqu'un finira par jaser. >
- Bien, je veux aider, déclara Emily. Nous devons libérer les Hork-Bajirs et écraser les Yirks !
Tobias fit un large sourire.
- Ca ne te rappelle pas quelqu'un, Jake ?
- Ouais, dit Lewis. Allons aider les bons aliens !
- Attendez, s'écria Richard. Votre mère aurait une attaque.
Lewis saisit le bras de son père.
- Des vrais aliens, papa.
Richard baissa les yeux sur le visage enthousiaste de son fils.
- Tu as raison, mon garçon, déclara-t-il. C'est l'unique chance de notre vie. Nous allons rejoindre votre combat !
Tobias me jeta un coup d'oeil.
< Jake, ils ne comprennent toujours pas. Tu vas devoir faire un dessin. >
- Je ne crois pas que vous compreniez ce que ça signifie, dis-je, en regardant avec insistance chaque campeur. Nous parlons d'une vraie bataille. Une vraie guerre. De la douleur, du sang et même la mort, dis-je. Des tripes répandues, des membres sectionnés et une horreur psychologique que vous ne pourrez jamais oublier. Ce n'est pas un séjour dans un parc à thème. Ce n'est pas de la télévision ni un jeu vidéo. C'est un rendez-vous avec une réalité sérieusement brutale.
- Je comprends, dit Justin. Et je rentre. Désolée, les gars, mais je ne suis pas un héros. Il donna à Lewis un petit étui noir. Prends quelques photos, OK, Lew ? Ce truc semble parfait pour notre page Web.
- Discrétion, rappelez-vous ! aboyai-je.
Justin sursauta/sembla surpris.
- Oh. C'est vrai.
Puis deux autres campeurs partirent avec lui.
Les treize qui restaient, apparemment, venaient avec nous.
< Est-ce astucieux ? > dit Tobias. < Je veux dire, pouvons-nous faire cela ? Pouvons-nous emmener ces gens vers les Hork-Bajirs libres ? Pouvons-nous leur révéler le chemin ? >
- On le fait déjà. Et en plus, raisonnai-je pathétiquement, personne ne croira une rumeur sur des aliens provenant d'une bande de fans de Star Trek. J'espère.
Nous menions les treize campeurs, dix gamins et trois adultes, sur le kilomètre et demi environ qui nous séparait de la colonie des Hork-Bajirs.
Nous approchions des environs de la colonie. Une douzaine de Hork-Bajirs, sinistrement visible à la lumière vacillante des torches, se tenaient debout en deux rangs sur l'un et l'autre côté du sentier. Toby se tenait au milieu.
- Bienvenus, dit-elle. Nous sommes honorés de votre présence. Nous vous remercions pour votre aide.
Les campeurs ne parlaient pas. Ils marchaient juste sous la voûte des branches et des très grands extraterrestres couverts de lames.
- Comment saviez-vous que nous arrivions ? demandai-je à Toby.
- Les arbres ont chuchoté quelque chose à propos de nouveaux amis s'alliant à notre cause. Des amis humains rejoignant notre combat, dit-elle. Je vois des choses, Jake. Beaucoup de choses.


Chroniques de l'Ellimiste :

L'enfant humain m'a appelé. L'enfant humain était en train de mourir, et rien que je puisse faire en suivant les règles du jeu ne pouvait changer ce fait.
L'enfant humain, un de ceux qui s'était auto-nommés Animorphs, m'a demander d'expliquer. A cet instant final, l'humain voulait savoir : Ca en valait la peine ? La peine, le désespoir, la peur. L'horreur de la violence subie, et l'horreur corrompue de la violence infligée, ça en valait la peine ?
J'ai dis que je ne pouvais pas répondre à ça. J'ai dis que le combat n'était pas encore fini.
- Qui êtes-vous ?!, tempêta l'enfant. Qui êtes-vous pour jouer avec nous ? Vous apparraissez, vous disparraissez, vous jouez avec nous, vous nous utilisez, qui êtes vous, qu'êtes vous ? Je mérite une réponse.
- Oui, dis-je. Tu la mérite. A cette question je vais donner toute les réponses que je connais. Et quand tu me connaîtra, tu poseras une autre question. Et je répondrai à cette question aussi. Et après...
[... intégralité des Chroniques de l'Ellimiste ...]
J'ai dis à l'humain mourrant :
- Maintenant tu sais qui je suis. Ce que je suis.
- Oui. Vous étiez un gosse. Comme moi en quelque sorte, un gosse qui gênait profondément et qui ne pouvait pas retourner en arrière.
- Un gosse.
- Vous étiez piégé. Vous l'êtes toujours. J'ai été piégé.
- Oui, dis-je.
- Etais-je une pièce de votre jeu ? Etions-nous tous les six juste des pièces du jeu ?
J'ai réfléchis à cela un moment. Qui peut dire qui est une pièce et qui est un joueur ? Combien de fois me suis-je demandé si moi-même je n'étais pas juste une pièce d'un encore plus grand jeu dont les joueurs riaient de ma prétention ?
- Je n'ai pas fais en sorte que vous soyez six. Tu es... tu étais... un heureux incident. Une contribution involontaire de la race humaine pour sa propre survie.
L'humain était silencieux. Pas de demande, pas de supplication pour survivre. A la fin, l'acceptation arriva même pour cet esprit fort, turbulent.
- Vous avez dis que je pouvais poser une question de plus.
- Oui.
- Je ne peux pas demander si nous gagnons, je ne peux pas demander si tout va bien se terminer.
- Je ne connais pas ces réponses.
- Ok, alors réponds à ça, Ellimiste : Est-ce que... est-ce que j'ai fais la différence ? Ma vie, et ma... ma mort... ça en valait la peine ? Est-ce que ma vie était vraiment importante ?
- Oui. Tu as été brave. Tu as été forte. Tu as été bien. Tu étais importante.
- Ouais. Ok, alors... ok alors...



Nous voudrions nous lancer dans la traduction complète des livres jamais parus en France, si ça tente quelqu'un...
Revenir en haut Aller en bas
http://damegdl.free.fr
outaqua
Bébé Andalite
Bébé Andalite



Nombre de messages : 10
Date d'inscription : 06/04/2011

Extrait francais des Livres Anglais! Empty
MessageSujet: Re: Extrait francais des Livres Anglais!   Extrait francais des Livres Anglais! EmptyMer 06 Avr 2011, 07:33

je suis absolument nul en anglais mais si tu pouvais le faire sa serait cool surtout le 1er
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Extrait francais des Livres Anglais! Empty
MessageSujet: Re: Extrait francais des Livres Anglais!   Extrait francais des Livres Anglais! Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Extrait francais des Livres Anglais!
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Copie de livres
» Les livres non parus en france!

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Animorphs France :: Débats et Sondages :: Autres-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser